(Littérature) robe de femme très-légère. Les dames l'attachaient avec une agraffe, et la laissaient tomber négligemment sur leurs épaules. Sidonius nous l'apprend, Carm. 11. Ve 323.

Perque humeros teretes, rutilantesque lacertos

Pendula gemmiferae mordebant suppara bullae.

Lucain en parle aussi sur le même ton, liv. II. Ve 362.

Humerisque haerentia primis

Suppara nudatos cingunt augusta lacertos.

C'était la robe des jeunes demoiselles, si nous nous en rapportons à Festus, qui dit, supparum puellarum vestimentum lineum ; voyez Ferrarius de re vestiariâ. Je m'imagine que cette robe était fort à la mode, car elle pare plus d'une jolie fille dans les planches d'Herculanum. (D.J.)