(faites sentir l'S) s. f. Aux Antilles on appelle costières le penchant des montagnes qui se regardent, formant un vallon profond et de peu d'étendue. Les terrains de costières ne sont point propres à l'établissement des sucreries ; on les destine, lorsqu'ils sont praticables, aux plantations de café, cacao, magnoc, etc. et pour l'ordinaire on y seme des légumes. Art. de M. le Romain.