Géographie & histoire sacrée
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Dom Calmet a tâché de prouver dans une dissertation sur l'origine et les divinités des Philistins, que l'île de Caphtor désignait l'île de Crète. Le nom de philistin n'est point hébreu. Les septante le traduisent ordinairement par allophyli, étrangers. Les Péléthéens et les Céréthéens étaient aussi philistins ; et les septante traduisent quelquefois, comme dans Ezéch. xxv. 16. Sophron. XIe 5. 6. céréthin par , crétois. Les Chasluims, pères des Caphtorims, demeuraient originairement dans la Pentapole cyrénaïque, selon le paraphraste Jonatham, ou dans le canton pentaschenite de la basse Egypte, selon le paraphraste jérosolymitain.
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Saint Paul, I. Cor. Xe 4. dit que ce rocher les suivait dans leurs voyages, et qu'il était la figure de Jesus-Christ : bibebant de spirituali consequente eos petrâ ; petra autem erat Christus. Sait que l'eau les suivit ou qu'ils suivissent le courant de l'eau ; soit qu'ils portassent toujours de cette eau dans leur marche, comme Elien, Var. Histoire lib. XII. c. xl. dit que l'eau du Choaspe suivait toujours le roi de Perse, c'est-à-dire qu'on en portait toujours à sa suite, parce qu'il n'en buvait point d'autre ; soit enfin qu'on trainât le rocher d'Horeb sur un chariot, à la manière d'un gros muid toujours plein, et toujours ouvert à quiconque en voulait boire. Ce dernier sentiment est suivi par les rabbins, et par quelques anciens pères, comme Tertullien, S. Ambraise, S. Chrysostome, S. Thomas, et Cantacuzene.
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Le nom de reine du midi dénote que le pays de cette princesse devait être au midi de la Palestine, ce qui convient à l'Arabie heureuse. Le même passage allégué ci-dessus porte qu'elle vint des extrémités de la terre. L'Arabie enfermée entre deux golfes, et terminée par l'Océan, répond à cette idée dans le style de l'Ecriture. Elle apporta en présent des choses qui se trouvaient autrefois assez communément en Arabie ; savoir de l'or, des parfums et des pierres précieuses. Enfin, les anciens parlent d'un peuple de l'Arabie heureuse, nommé Sabaei, qui admettait les femmes à la couronne. Claudien, in Eutrop. liv. II. vers. 320. dit :
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