(Diète) Les qualités diététiques de cette espèce de friandise doivent être estimées par celles des amandes et du miel, (voyez AMANDES et MIEL.) Ce dernier ingrédient a reçu pourtant une altération dans la cuite qu'exige la préparation du noga. Il est devenu plus visqueux ; il a acquis de l'âcreté. Aussi cet aliment empâte la bouche, rend la salive gluante, et excite une soif incommode. Il est d'ailleurs sujet à causer des aigreurs, des vents, et des dévoyements. En tout, c'est une mauvaise drogue que le noga. (b)