S. m. (Commerce) on appelle en Espagne quintal-macho, un poids de cent cinquante livres, c'est-à-dire de cinquante livres plus fort que le quintal commun, qui n'est que de cent livres. Il faut six arobes pour le quintal macho, l'arobe de vingt-cinq livres, la livre de seize onces, et l'once de seize adarmes ou demi-gros ; le tout néanmoins un peu plus faible que le poids de Paris ; en sorte que les cent cinquante livres du macho ne rendent que cent trente-neuf livres et demi, un peu plus, un peu moins de cette dernière ville. Dict. de comm. (G)