S. m. (Commerce) terme assez usité parmi les négociants pour signifier un créancier, ou, comme ils s'expriment, celui qui doit avoir. Voyez CREDIT, CREANCIER et AVOIR. Dict. du Comm. et de Trév. (G)
S. f. (Jurisprudence) n'est pas un traité ou accord comme quelques-uns l'ont pensé ; il signifie la même chose que chevance, et vient de chevir, en tant qu'il signifie se nourrir, s'entretenir. Voyez Beaumanoir, qui use quelquefois de ce mot pour chevance ; Rastal, dans son livre intitulé les termes de la loi ; gloss. de Laurière. (A)