L'exportation des chiffons est défendue. Nous avons déjà insinué quelque part qu'il y avait des matières qui se perdaient ou se brulaient, et qui pourraient être facilement employées en papier : telles sont les recoupes des gasiers.

La police a aussi veillé à ce que les chiffonniers, en lavant leurs chiffons et en les emmagasinant, n'infectassent ni l'air ni les eaux, en reléguant leurs magasins hors du centre des villes, et en éloignant leurs lavages des endroits des rivières où les habitants vont puiser les eaux qu'ils boivent.