S. m. c'est, selon la superstition des Mages, l'ange ou le génie qui préside aux noces et à tous les troisiemes jours des mois, qui portent son nom et lui sont consacrés. La fête de l'aniran se célébrait autrefois avec pompe, mais le Mahométisme l'a abolie : il n'y a plus que les fidèles adorateurs du feu, que l'on appelle aujourd'hui parsis, qui sanctifient ce jour secrètement et dans quelques endroits seulement.