Pour affermir ensuite ces mâts, on place au pied de l'ancien mât, sur le pont, une pièce de bois qui doit servir de carlingue, et que l'on assujettit fortement avec le bau le plus voisin. On saisit ensuite avec de fortes liures ou rostures le nouveau mât avec le tronçon de l'ancien, et entre les vides on y insere des coins de bois que l'on chasse avec force.

Les mâts étant ainsi assujettis, on donne à celui de hune qui sert de grand mât une vergue et une voîle du petit hunier, avec les manœuvres nécessaires, etc. Voyez MAT, etc. (Z)