Nicander et Gellius font mention, l'un d'un poisson, l'autre d'un oiseau de ce nom. Le poisson de ce nom dont parle Athenée, a la chair tendre et facîle à digérer. Voilà encore un de ces êtres dont il faut attendre la connaissance des progrès de l'histoire naturelle, et dont on n'a que le nom, comme si l'on n'avait pas déjà que trop de noms vides de sens dans les Sciences et les Arts, etc.