Lorsqu'il y a plusieurs marchands qui jettent leurs bois à bois perdu dans le même temps et dans le même ruisseau, ils ont coutume de marquer chacun le leur à la tête de chaque buche, avec un marteau de fer gravé des premières lettres de leur nom, ou de quelqu'autre figure à leur volonté, afin de les démêler quand on les tire à bord. Ils ont aussi à communs frais, des personnes qui parcourent les rives de ces petites rivières des deux côtés, et qui avec de longues perches armées d'un croc de fer, remettent à flot les bois qui donnent à la rive et qui s'y arrêtent. (D.J.)