S. m. (Liturgie et Histoire ecclésiastique) on appelait autrefois grabattaires, ceux qui différaient de recevoir le baptême jusqu'à la mort, ou qui ne le recevaient que lorsqu'ils étaient dangereusement malades, et sans espérance de vivre plus longtemps, dans l'opinion où ils étaient que le baptême effaçait tous les péchés qu'ils avaient commis. Voyez BAPTEME. Chambers.

Ils ont été nommés grabattaires de grabat, un mauvais lit suspendu, étroit et sans rideaux, anciennement celui des esclaves, des pauvres et des philosophes cyniques. (G)