S. m. (Jurisprudence) dans quelques anciens titres, est dit pour droit de festin ou fête que certains chapitres ou bénéficiers doivent à leur supérieur ecclésiastique, ou au seigneur à son avenement. Voyez le glossaire de Laurière, au mot FESTIN. (A)

FESTAGE se trouve aussi écrit dans quelques anciens titres, au lieu de faistage, droit seigneurial dû pour le faite de chaque maison, mais on doit dire et écrire faistage. Voyez ci-devant FAISTAGE. (A)