Pharmacie
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- Écrit par Louis de Cahusac (B)
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- Écrit par Louis de Cahusac (B)
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Les racines dont on tire communément les fécules, sont la bryone, l'iris nostras, et le pié-de-veau. Voyez ces différents articles.
On attribuait autrefois à ces fécules les vertus médicinales des racines dont on les retirait. Zwelfer a le premier combattu cette erreur : il dit dans ses notes sur la pharmacopée d'Augsbourg, que les fécules ne sont rien autre chose que des poudres subtiles farineuses, privées du suc végétal, qui n'ont conséquemment aucune efficacité, aucune vertu. Dans son appendix ad animadversiones, il appelle les fécules un médicament inutîle et épuisé, inutîle et effetum medicamenti genus. Qui pourra croire, ajoute-t-il, qu'une racine que l'on a épuisée de son suc par l'expression, ait encore les vertus qu'elle avait auparavant ? or les fécules sont dans ce cas ; elles ne diffèrent point du reste de la racine que l'on rejette comme inutile, et conséquemment on doit les bannir de l'usage médicinal.
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- Écrit par Ephraim Chambers
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Les Latins l'appelaient alica, que Festus dérive ab alendo, à cause qu'elle est fort nourrissante. Il est à observer qu'on en faisait avec toute sorte de blé.
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- Écrit par Auteur anonyme
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- Écrit par Louis de Cahusac (B)
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