S. f. (Belles Lettres) espèce de comique grossier où toutes les règles de la bienséance, de la vraisemblance, et du bon sens, sont également violées. L'absurde et l'obscène sont à la farce ce que le ridicule est à la comédie.
Or on demande s'il est bon que ce genre de spectacle ait dans un état bien policé des théâtres réguliers et décents. Ceux qui protegent la farce en donnent pour raison, que puisqu'on y va, on s'y amuse, que tout le monde n'est pas en état de goûter le bon comique, et qu'il faut laisser au public le choix de ses amusements. Lire la suite...