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Écrit par Auteur anonyme

Catégorie parente: Commerce

Catégorie : Commerce & Grammaire

v. act. (Grammaire et Commerce) mettre à part, faire choix de ce qu'il y a de meilleur dans plusieurs choses d'une même espèce.

M. Savari pense que dans le Commerce en général, on a fait ce mot trier, du terme trayer, qui est propre aux monnaies, où l'on dit trayer le fort du faible, c'est-à-dire, choisir les espèces qui ont plus de trait, qui sont plus trébuchantes. Voyez TREBUCHANT et TRAYER. Dictionnaire de Commerce.

Création : 1 décembre 1765

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Écrit par Auteur anonyme

Catégorie parente: Commerce

Catégorie : Commerce & Grammaire

S. f. (Grammaire et Commerce) terme de commerce, qui n'est guère en usage que dans les colonies françaises du Canada, où il signifie la même chose que troc ou échange. Aller faire la troque avec les habitants de Quebec, de Mont-Real, etc. c'est porter des marchandises d'Europe pour échanger avec les pelleteries et autres choses, qu'on tire de cette partie de l'Amérique septentrionale. Dict. de Comm.

Création : 1 décembre 1765

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Écrit par Auteur anonyme

Catégorie parente: Commerce

Catégorie : Commerce & Grammaire

S. m. (Grammaire et Commerce) celui qui vend. Voyez VENDRE. Ce terme se dit en général de toute personne qui cede et livre à une autre quelque chose, soit héritage, soit contrat, soit marchandise, pour un prix convenu entr'elles. Celui qui vend ce qui ne lui appartient pas s'appelle faux vendeur ou stellionataire. Voyez STELLIONATAIRE.

VENDEUR, en fait de marchandises, ne se dit guère que de celui qui vend de petites denrées ou des friandises. Un vendeur d'allumettes, un vendeur de petits pâtés, etc. On le dit aussi des femmes qui font ces sortes de petits négoces. Une vendeuse de pain d'épice, de pommes, d'oranges, etc.

Création : 1 décembre 1765

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Écrit par Louis de Jaucourt (D.J.)

Catégorie parente: Commerce

Catégorie : Commerce & Grammaire

v. act. (Grammaire et Commerce) en général signifie aliener, transporter à un autre la propriété d'une chose qui nous appartient, et que nous lui cédons et livrons moyennant un certain prix ou somme d'argent dont on demeure d'accord.

Les marchandises ou autres effets mobiliers se vendent ou de gré-à-gré par une simple tradition, ou par force à l'encan, par autorité de justice. Voyez ENCAN. Les immeubles, comme terres, maisons, moulins, etc. se vendent aussi ou volontairement par un simple contrat ou par un contrat qui doit être suivi d'un decret volontaire, ou forcément par un decret précédé d'une saisie réelle. Voyez CONTRAT, DECRET, SAISIE REELLE.

Création : 1 décembre 1765

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