Chirurgie
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Cette maladie affecte ordinairement les femmes grosses, aussi-bien que les personnes qui ont le sang épais, ou qui sont affligées de douleurs dans les hypocondres, d'une obstruction au foie, ou d'un skirrhe.
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- Écrit par Antoine Louis (Y)
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On prend une petite cucurbite de verre, connue sous le nom de ventouse ; on rarefie l'air dans la cavité de ce vaisseau, en y introduisant la flamme d'une lampe ou celle d'un peu d'esprit-de-vin allumé, puis on applique sur le champ la ventouse sur la partie qu'on veut ventouser.
La manière la plus ordinaire de procurer la raréfaction de l'air, est d'attacher quatre petites bougies sur un morceau de carte taillé en rond ; on allume ces bougies, et l'on place cette espèce de chandelier sur la partie qu'on couvre avec la ventouse. On ne l'appuie fermement sur la peau qu'après que l'air a été bien échauffé et raréfié. Lorsque la ventouse porte exactement, les bougies s'éteignent, et la tumeur s'éleve. Il est à-propos de frotter la partie qu'on veut ventouser, avec une serviette chaude, afin d'y attirer le sang. Dès que la ventouse est appliquée, on la couvre d'une serviette chauffée, afin d'entretenir plus longtemps la chaleur.
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Les verrues sont de petites excraissances ou tubercules brunâtres qui viennent sur plusieurs parties du corps, mais plus ordinairement sur le visage et sur les mains.
Elles varient pour la forme et pour la grosseur. Les unes sont grosses et plates, d'autres menues, d'autres ressemblant à une poire pendante par la queue. On ne les extirpe pas pour la douleur ou le danger, mais pour la difformité qu'elles causent, surtout lorsqu'elles sont placées sur des endroits visibles, comme le visage, le cou ou les mains de femmes belles d'ailleurs. Quoiqu'on cite une infinité de remèdes, les uns sympathiques, d'autres purement superstitieux et frivoles, dont on vante l'efficacité ; il n'y a rien de plus sur ni de plus prompt que la main du chirurgien. Voici les principales méthodes qu'il emploie.
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