Physiologie
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- Écrit par Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie parente: Physique particulière
- Catégorie : Physiologie
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- Écrit par Paul-Jacques Malouin (M)
- Catégorie parente: Physique particulière
- Catégorie : Physiologie
1°. L'air étant entré par l'inspiration est retenu quelque temps ; c'est l'irritation qu'on sent dans les poumons, qui est cause qu'on retarde un moment l'expiration pour tâcher de faire sortir ce qui incommode ce viscère ; alors le muscle triangulaire par son mouvement, resserre subitement le thorax ; les fibres antérieures du diaphragme produisent le même resserrement qui presse le tissu pulmonaire ; les poumons pressés violemment par diverses secousses, se vident de l'air qu'ils contiennent dans leurs cellules ; l'air poussé à diverses reprises contre le larynx, y forme un son chaque fois qu'il Ve y heurter avec force : quand j'ai dit qu'on retarde un moment l'expiration pour faire sortir ce qui incommode les poumons, je n'ai pas prétendu que cela fût toujours volontaire ; je n'ai voulu expliquer que la toux qui est libre ; car lorsqu'il y a quelque violente irritation dans les poumons, il survient dans le diaphragme des convulsions qui forment une toux qu'on n'est pas maître d'arrêter.
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- Écrit par Auteur anonyme
- Catégorie parente: Physique particulière
- Catégorie : Physiologie
On suppose que dans les végétaux il y a un principe de vie, que l'on appelle communément l'âme végétative. Voyez VEGETATIF et VEGETATION.
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- Écrit par Denis Diderot (*)
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- Catégorie : Physiologie
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- Écrit par Louis de Jaucourt (D.J.)
- Catégorie parente: Physique particulière
- Catégorie : Physiologie
De ce double mouvement continuel et réciproque, nait la nutrition, l'accroissement auquel succede le décroissement et la mort. Voyez tous ces mots. C'est assez de dire ici que de ce mouvement résulte la dissipation des parties aqueuses, mobiles, fluides, le reste devient impropre à circuler, et fait corps avec le tuyau qu'il bouche. Ainsi l'épaississement des humeurs, l'ossification des vaisseaux, sont les tristes mais nécessaires effets de la vie. La physiologie démontre comment la machine se détruit par nuances, sans qu'il soit possible de l'empêcher par aucun remède, et l'auteur des caractères en a fait un tableau d'après nature. Le voici :
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