Geographie ancienne

(Géographie ancienne) Veii, ville d'Italie, dans l'Etrurie, près du Tibre, à environ cent stades de Rome. C'était une ville puissante, riche et forte ; dumoins les historiens nous la représentent comme une ville aussi étendue et aussi peuplée qu'Athènes. Les habitants qui craignaient les Romains, ne s'étaient pas contentés de la situation avantageuse de leur ville, ils avaient encore employé l'art pour la fortifier. Depuis longtemps les Veïens et les Romains vivaient dans une perpétuelle mésintelligence, et commettaient à toute heure des hostilités sur les terres les uns des autres, jusque - là que Florus, l. I. c. XIIIe nomme les Veïens assidui et anniversarii Romanis hostes.

(Géographie ancienne) maison de campagne, en Italie, au bord du Tibre, sur la voie Flaminienne. Cette maison, dont parle Suétone, l. VII. in Galbâ, c. j. appartenait à Livie, femme d'Auguste, et elle fut nommée ad-Gallinas. (D.J.)
(Géographie ancienne) ville des Séquaniens ; l'itinéraire d'Antonin la marque sur la route de Milan à Strasbourg, en prenant par les Alpes graïennes. Elle est entre Vesuntio et Epamantadurum, à vingt-deux milles du premier de ces lieux, et à douze milles du second. (D.J.)
(Géographie ancienne) ville de l'Illyrie. Ptolémée, l. II. c. XVIIe la marque sur la côte, entre l'embouchure du fleuve Oènus et la ville Seni. Thevet dit que le nom moderne est Bacharin. (D.J.)
(Géographie ancienne) lieu de la Germanie, à 33 milles de Vipetenum, selon l'itinéraire d'Antonin. On croit que c'est aujourd'hui Wilten, abbaye de l'ordre de Prémontré, au voisinage d'Inspruck. (D.J.)