Lithologie

S. f. (Lithologie) c'est ainsi qu'on appelle une nappe dont on couvre l'autel dans l'église grecque.
S. m. (Lithologie) c'est dans l'église grecque une sorte de refrein qui termine les parties considérables de l'office divin. Ce refrein change selon les temps. Le terme apolitique est composé de et de , je délie, je finis, &c.
S. f. (Histoire naturelle, Lithologie) cactonites ; pierre que quelques-uns prennent pour la sarde ou pour la cornaline. On a prétendu que son seul attouchement rendait victorieux, et que prise dans la dose d'un scrupule elle mettait à couvert des maléfices ; propriétés si fabuleuses, qu'à peine osons-nous en faire mention.
S. m. (Histoire naturelle, Lithologie) pierre que l'on apportait, suivant quelques auteurs, des Indes orientales, et surtout de Carthagène et de Nombre de Dios. On prétend qu'elle ressemble au caillou des rivières ; qu'elle se trouve dans l'estomac des grands crocodiles appelés caimants, et que les Indiens et les Espagnols la recherchent avec soin, comme un remède assuré contre la fièvre quarte : il faut en appliquer une à chaque tempe. Voyez CROCODILE.

S. f. (Histoire naturelle, Lithologie) pierre qui imite le saphyr, excepté que sa couleur est plus claire, et ressemble à celle de l'eau de mer : on la trouve, à ce qu'il dit, dans les rochers escarpés et couverts de glace ; qu'elle a la forme de l'ail, et qu'elle y adhere légèrement. Il parait, ajoute de Boot, que c'est l'aigue marine des modernes. Voyez AIGUE MARINE. Mais ce n'est pas l'avis de de Laet, qui dit que c'est la turquaise.