(Histoire ancienne) lieu de la Perse arménienne, selon Procope, Persicor. liv. II. c. xxiv. qui dit que les mages y gardaient un feu perpétuel, et y offraient des sacrifices. Strabon, liv. XV. pag. 733. qui nomme ce lieu Pyratheia, dit que c'était une grande enceinte au milieu de laquelle il y avait un autel où les mages conservaient le feu perpétuel dont parle Procope. C'était un grand temple des mages.