Ces remèdes augmentent la chaleur dans les solides, et donnent de la volatilité aux fluides, conséquemment hâtent le mouvement progressif du sang, divisent les humeurs, résolvent les obstructions, et entretiennent la transpiration.

On peut les employer dans les maladies de la tête, des nerfs, de l'estomac, et du cœur, à condition que les corps ne seront pas pleins de sang et d'humeur, que le ventre sera libre, et qu'il n'y aura ni grande jeunesse, ni tempérament sensible et porté à la colere.