On appelle liseuse celle qui lève les desseins et les transpose corde par corde sur le semple, c'est dans cette occasion que l'on se sert des embarbes.
du Latin acoemetae ou acoemeti, pour insomnii, s. m. pl. (Théolog.) nom de certains religieux fort célebres dans les premiers siecles de l'Eglise, sur-tout dans l'Orient, appellés ainsi, non qu'ils eussent les yeux toûjours ouverts sans dormir un seul moment, comme quelques auteurs l'ont écrit, mais parce qu'ils observoient dans leurs églises une psalmodie perpétuelle, sans l'interrompre ni jour ni nuit. Ce mot est Grec, , composé d' privatif, & de , dormir. Lire la suite...